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Étiquette : projet étudiants

Diasporama, le projet journaliste des M2 alternant·e·s

diasporama, projet des alternants 42e promo

Que deviennent les rapatriés harkis et pieds-noirs plus de 60 ans après la guerre d’Algérie ? Pourquoi un tatoueur parisien travaille-t-il sur des motifs sacrés cambodgiens ? Comment vit-on un conflit dans son pays d’origine lorsqu’on est installé en France ?

Les étudiants de la promotion 42 d’IPJ Dauphine | PSL répondent à ces questions dans diasporama.fr. Entre Bengalis, Arméniens, Colombiens et Tibétains, ce projet explore les multiples identités des diasporas de la région parisienne.

Les étudiant·e·s en M2 qui font le choix de l’alternance doivent réaliser un projet journaliste à la fin de leur master. Ce projet peut prendre la forme d’un voyage de fin d’étude ou de réalisations de podcasts par exemple. Cette année, les alternants de la 42e promotion de l’Institut Pratique du Journalisme ont choisi de créer Diasporama, un regard éphémère porté sur les diasporas de la région parisienne et illustré par des étudiants des Gobelins.

Retrouvez-les sur leurs réseaux

Les étudiant·e·s d’IPJ Dauphine | PSL en M1 créent le média
« Sous Cloche »

Sous cloche

Les étudiantes et étudiants de la 42ème promotion d’IPJ Dauphine | PSL lancent : Sous Cloche, un média qui traite des sujets autour de l’alimentation sous toutes ses formes (approche conso, culinaire, éco, sociale, sociétale, politique) à l’heure de la crise sanitaire.

Pourquoi ce nom ?

Sous Cloche veut évoquer à la fois cette obsession pour la nourriture et cette drôle d’époque que nous vivons, où chacun est confiné sous sa propre cloche.

Ce qu’on y trouve.

Le média s’organise en cinq rubriques (Se Nourrir / S’approvisionner / Produire / Distribuer / Agir) qui traiteront de l’actualité alimentaire dans toutes ses dimensions, au temps du confinement, et à l’heure du déconfinement. Un thème riche en problématiques, en incertitudes mais aussi en solutions innovantes, en bons plans et en sources de réconfort.

Différents formats – de l’article factuel à la vidéo de fact-cheking confiné en passant par le podcast- sont utilisés et, outre le site internet souscloche.info, différentes plateformes sont mobilisées : Youtube, Instagram et Twitter.

Comment c’est fait ?

La rédaction est composée des 34 étudiantes et étudiants en première année de l’Institut Pratique du Journalisme-Dauphine / PSL, contraints d’innover pour continuer à se former à leurs futurs métiers. Ils sont encadrés par des journalistes étoilés : Marianne Rigaux, Constance Daulon et Ulla Majoube pour les productions écrites ; Camille Grenu et Géraldine Noël-Meyer pour les contenus vidéos ; Pierrick Bonin et Quentin Pommier pour les contenus radio. Ils sont également chapeautés par les “chefs” pédagogiques : Pascale Colisson, Eric Nahon et Pascal Guénée.

Rédacteurs et rédactrices:  Simon ADOLF, Mathilde ANSQUER, Mathieu BARRERE, Victor BOITEAU, Matthieu BONHOURE, Louis BOREL, Quentin BOULEZAZ, Alice BOUVIALA, Mathieu BROSSEAU, Marjorie CHARPENTIER,  Thibaut COPLEUX, Leo DA VEIGA, Lea DANDOIS, Marguerite DE LASA, Angele DELMOTTE, Marie DELUMEAU, Elodie DO NASCIMENTO GONCALVES, Nina DROFF, Laetitia GIANNECHINI, Celia GUEUTI, Mael JOUAN,  Matthieu LASSERRE, Isma LE DANTEC, Tiphaine LEPROUX, Carla LORIDAN, Quentin MEUNIER, Margot MICHEL, Adelys OLIVIER, Marion PEPIN, Selma RICHE, Lou ROMEO, Aurore THIBAULT, Mariette THOM, Alexis VALLEE

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Contact : souscloche.info@gmail.com

Twitter : @SousCloche

Instagram : @souscloche.info

 

« Les blouses blanches sont-elles nos nouveaux « super-héros » ? » : une série d’entretiens à lire sur Le Pangolin

héros-4-horizontal

Julie Vitaline et Nicolas de Roucy, étudiants en fin de M2 journalisme, se sont entretenus avec plusieurs experts – historiens, sociologues du travail, spécialistes en communication politique ou en comics – pour interroger cette héroïsation de la figure du soignant.

Le 12 mars dernier, Emmanuel Macron rendait hommage aux « héros en blouse blanche ». En première ligne dans la lutte contre le Covid-19, les soignants font la une des journaux et sont, chaque soir, acclamés par de nombreux Français. Mais qui sont les héros d’aujourd’hui, et pourquoi en a-t-on besoin ? Doit-on y voir un coup de com’ du gouvernement ? Ces hommages les rend-il moins fatigués, et moins en colère face aux défaillances du système hospitalier ?

Pour analyser ce nouveau statut à double tranchant, Le Pangolin a interrogé plusieurs experts, historiens, sociologues du travail, spécialistes en communication politique ou en comics. Leurs interviews, menées par Julie Vitaline et Nicolas de Roucy, sont compilées dans notre série en quatre épisodes, « Les soignants, ces héros ? ». Elles sont illustrées par Thibault Droulez.

Le Pangolin est le média produit par les master 2 de l’Institut Pratique du Journalisme. Lancé le 10 avril dernier et crée entièrement à distance, le média « regarde le monde changer au temps du coronavirus » et s’interroge sur ce que le confinement change dans nos vies et les nouvelles interactions qu’il génère.

 

Retrouver tous les épisodes de cette série :

  • Premier épisode

https://lepangolin.info/2020/04/29/les-soignants-ces-heros-isabelle-veyrat-masson-cest-le-sort-des-heros-que-detre-abandonnes/

  • Deuxième épisode :

https://lepangolin.info/2020/04/30/les-soignants-ces-heros-david-colon-le-discours-du-gouvernement-stigmatise-aussi-les-anti-heros-ceux-qui-ne-veulent-pas-mettre-leur-vie-en-danger/

  • Troisième épisode :

https://lepangolin.info/2020/05/01/les-soignants-ces-heros-xavier-fournier-si-les-super-heros-existaient-il-y-aurait-sans-doute-des-gens-pour-leur-dire-de-quitter-limmeuble/

  • Quatrième épisode :

https://lepangolin.info/2020/05/04/les-soignants-ces-heros-stephane-le-lay-cette-reconnaissance-ne-tiendra-surement-pas-dans-le-temps/

 

 

Les étudiant·e·s d’IPJ Dauphine | PSL s’engagent en créant « Lepangolin.info »

Illustration Pangolin

Les étudiantes et étudiants de la 41ème promotion d’IPJ Dauphine | PSL lancent leur média : Le Pangolin. Ce projet se décline sur une plateforme web,  Lepangolin.info, et une newsletter hebdomadaire (avant la création d’une chaîne Youtube).

 

Pourquoi ce nom ?
Le pangolin symbolise, à tort ou à raison, les causes de la transmission du covid-19. Il y a aujourd’hui un « effet pangolin » comme il existe un effet papillon.

Ce qu’on y trouve.
« Le Pangolin regarde le monde changer au temps du coronavirus ». Créé entièrement à distance, le média s’interroge sur ce que le confinement change dans nos vies et les nouvelles interactions qu’il génère. Ses journalistes regardent le monde et cherchent les témoins directs de ce qui s’y passe.

Comment c’est fait ?
La rédaction du Pangolin veut explorer toutes les formes journalistiques actuelles, à l’exception du reportage sur le terrain, mais veut rencontrer, expliquer et comprendre les changements profonds qui sont à l’œuvre dans notre société. Et rencontrer les acteurs de ces changements. Et ceux qui les subissent.  Ses sujets se déclineront aussi en audio et vidéo et feront la part belle aux séries d’articles pour suivre une thématique sur la durée.

Qui ?
Les 25 étudiants de M2 (deuxième année de Master) de l’Institut Pratique du Journalisme Dauphine | PSL devaient effectuer leurs stages de fin d’étude et intégrer une rédaction. Le Pangolin est la solution qu’ils ont trouvée pour exercer le métier qu’ils ont choisi.  Ils sont encadrés par trois enseignants et journalistes (Anne Tézenas du Montcel, Ulla Majoube et Eric Nahon), qui jouent le rôle de « conseillers de rédaction ». Raphaël Melki apporte un soutien technique pour le développement de la plateforme web.  Les sujets sont ceux de jeunes journalistes qui racontent le monde tel qu’ils le perçoivent en mettant en avant les faits.

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Contact : lepangolin.info@gmail.com

Twitter : @lepangolininfo

Instagram : @lepangolin.info

Les dauphinois au cœur de l’innovation dans les médias

vidéo étudiants cours

Pendant une semaine les étudiants ont inventés en équipes des médias pour demain. Concepts innovants et modèles économiques : 10 projets ont été imaginés et pitchés devant un jury de professionnels. Retour sur expérience et palmarès.

Depuis 4 ans les étudiants du Master 226 (Management des Télécoms et des médias) et de l’Institut Pratique du Journalisme Dauphine | PSL s’unissent pendant une semaine complète le temps d’un hackhaton « New business model for New media ». En 2019, les étudiants designers de la Web School Factory étaient associés au projet. Objectif: faire émerger des projets de médias viables et innovants.

Dix équipes composées d’étudiants issus de chacune de ces formations avaient 4 jours pour prototyper un média. A l’issue de la 5ème journée les propositions ont été présentées au Cargo Paris devant un jury composé des professionnels des médias et de l’innovation : Catherine Peyrot (@lecargoparis), Cécile Dubois (@94citoyens @spiil), Eric Nahon (@IPJdauphine), Mathieu Maire du Poset (@letankmedia), Laurent Bérard-Quélin (FNPS) et Anne Lalou (@WSFparis).

Les jurys ont salué la qualité de l’ensemble des propositions et la fructueuse collaboration entre ces étudiants aux expertises complémentaires. A l’issue d’une délibération, deux projets jugés particulièrement aboutis ont été distingués :

1er Prix : Ephémère, mensuel hybride sur l’écologie


2ème Prix : PopCorner, pure player qui aborde l’actualité sociétale par le prisme de la pop culture

Presse jeunesse, BD, podcasts, information locale, découvrez tous les projets présentés :

Lancement de la plateforme Demain Dakar

DemainDakar Logo

Chaque année, les étudiant·e·s en master 2 à IPJ Dauphine | PSL clôturent leur formation par un projet journalistique conduit à l’international. Cette année, ils et elles ont choisi le Sénégal.

Quels sont les rêves des jeunes Dakarois dans un pays et un continent en pleine mutation ? Les étudiant·e·s en apprentissage d’IPJ ont lancé demain-dakar.com, une plateforme riche et multifacettes alimentée avec des reportages conduits sur le terrain.

Entièrement géré par les étudiant·e·s, le projet visait à prendre le pouls de la jeunesse sénégalaise et, à travers elle, de toute la société. Désireux de mettre en lumière les enjeux d’un pays en pleine évolution, les étudiant·e·s ont donné la parole à toute une pléiade d’acteurs politiques, culturels, économiques mais aussi des citoyens de la société civile.

Ils sont ainsi partis à la rencontre d’artistes emblématiques tels que Nix, Nitt Doff, Neffy, Sally Raby Kane, de l’écrivain Mohamed Mbougar Sarr, des créateurs du laboratoire de poche OwnLabs, ou encore de TFM, la première chaîne de TV du Sénégal. Les jeunes journalistes se sont aussi longuement plongés dans les rues du pays pour se mettre à l’écoute de ceux qui rêvent de foot, de surf, de religion, de danse, d’écologie ou encore d’amour….

Sept rubriques (Aimer, Bouger, Espérer, S’engager, Apprendre, Inventer, Ni mafé ni à faire) pour raconter, non pas la jeunesse, mais les jeunesses plurielles du Sénégal dans toutes leurs diversités.

Le projet a été organisé grâce au soutien du CFA Paris-Académie Entreprise et encadré par Maya Blanc, enseignante, et Romain Lejeune, journaliste. Un grand merci !

Slate.fr publie les enquêtes des étudiants d’IPJ Dauphine | PSL

Slate IPJ

Le magazine a relayé en juin dernier plusieurs reportages issus du magbook LOST. Entièrement réalisé par les étudiants de l’Institut Pratique du Journalisme de l’université Dauphine | PSL, ce travail d’enquête inédit se proposait d’explorer les maux de notre époque.

« LOST, lorsque l’orientation se bouscule », ce magazine d’enquête des étudiants d’IPJ Dauphine | PSL dresse une cartographie des désarrois et des luttes de notre époque : ZAD, radicalisations, migrations, désuétude des systèmes publics (éducatifs, médicaux, sportifs), nouveaux collectifs et nouveaux modes de consommation… La publication dit aussi bien le prix social de l’inattention à l’autre que les nouvelles formes de résistances qui en découlent.

Les étudiant·e·s en journalisme de la 39ème promotion de l’école de journalisme IPJ  ont réalisé ce magazine papier de 120 pages, sous la direction d’Anne Tézenas du Montcel (rédactrice en chef) et de Patrick Chatellier, en charge de l’édition.

La rédaction de Slate.fr a salué la qualité et la pertinence de la publication et a relayé pendant deux semaines les articles du magbook sur son site Internet.
Le magazine est disponible en ligne dans son intégralité sur le site IPJ Dauphine | PSL et les articles accessibles sur Slate.fr.