🇸🇮 Slow : la Slovénie pas à pas !

Chaque année, les étudiantes et étudiants de deuxième année d’IPJ Dauphine-PSL ayant suivi l’intégralité de leur cursus en alternance partent à l’international dans le cadre d’un projet pédagogique. Cette expérience de terrain vise à conjuguer journalisme et ouverture au monde, tout en explorant de nouveaux formats éditoriaux.

🌍 Pour cette 46e promotion, la destination choisie est la Slovénie : un pays encore peu représenté dans les médias français, mais riche de contrastes et d’histoires à raconter. C’est là qu’est né Slow, un média original imaginé pour porter un autre regard sur ce territoire méconnu.

Pendant dix jours, les jeunes journalistes arpentent le pays avec une ambition claire : proposer une information sensible, engagée et documentée, en mettant l’accent sur les enjeux sociaux et environnementaux. De Ljubljana aux montagnes des Alpes juliennes, en passant par les campagnes slovènes, ils racontent le pays à hauteur d’humain.

🎥📸 Le projet Slow se décline sur plusieurs supports pour toucher un large public, notamment les jeunes générations :

Mythos Medias, le projet mobilité de la 45ème promotion

Logo MYTHOS avec un dieu grec tenant un éclair

Chaque année, les M2 ayant suivi leurs deux années à IPJ Dauphine-PSL en alternance se lancent dans un projet mobilité à l’étranger. Les alternantes et alternants de la 45ème promotion ont choisi la Grèce. Avec une rédaction à Athènes et une autre à Paris, ils et elles vont raconter les histoires qui se cachent derrière les clichés.

Vous pouvez suivre leurs reportages sur leurs différents réseaux : TwitterInstagram et Youtube

Capture écran bio Instagram

Populest, le média des alternant·e·s M2

Bannière Populest avec Viktor Orban

Chaque année, les étudiant·e·s en 2ème année d’alternance à IPJ Dauphine | PSL entament un projet de mobilité à l’étranger. À l’approche des élections législatives hongroises, ils et elles ont posé leur valise en Hongrie pour suivre l’événement au plus près de l’information.

Les étudiant·e·s ont donc créé Populest, un média qui mêle écrit, son, vidéo et datavisualisation.  « Pourquoi Populest ? Parce que le Premier ministre populiste Viktor Orbán, au pouvoir depuis douze ans, est en lice pour un quatrième mandat consécutif. »

Ils et elles sont accompagné·e·s de Pascale Colisson, responsable de la formation en alternance, et de Stéphane Béchaux, responsable de la première année du master journalisme à IPJ Dauphine | PSL.

Sur Twitter et Instagram, retrouvez l’actualité des élections législatives hongroises par les M2 alternant·e·s et sur populest.fr.

Lancement de la plateforme Demain Dakar

DemainDakar Logo

Chaque année, les étudiant·e·s en master 2 à IPJ Dauphine | PSL clôturent leur formation par un projet journalistique conduit à l’international. Cette année, ils et elles ont choisi le Sénégal.

Quels sont les rêves des jeunes Dakarois dans un pays et un continent en pleine mutation ? Les étudiant·e·s en apprentissage d’IPJ ont lancé demain-dakar.com, une plateforme riche et multifacettes alimentée avec des reportages conduits sur le terrain.

Entièrement géré par les étudiant·e·s, le projet visait à prendre le pouls de la jeunesse sénégalaise et, à travers elle, de toute la société. Désireux de mettre en lumière les enjeux d’un pays en pleine évolution, les étudiant·e·s ont donné la parole à toute une pléiade d’acteurs politiques, culturels, économiques mais aussi des citoyens de la société civile.

Ils sont ainsi partis à la rencontre d’artistes emblématiques tels que Nix, Nitt Doff, Neffy, Sally Raby Kane, de l’écrivain Mohamed Mbougar Sarr, des créateurs du laboratoire de poche OwnLabs, ou encore de TFM, la première chaîne de TV du Sénégal. Les jeunes journalistes se sont aussi longuement plongés dans les rues du pays pour se mettre à l’écoute de ceux qui rêvent de foot, de surf, de religion, de danse, d’écologie ou encore d’amour….

Sept rubriques (Aimer, Bouger, Espérer, S’engager, Apprendre, Inventer, Ni mafé ni à faire) pour raconter, non pas la jeunesse, mais les jeunesses plurielles du Sénégal dans toutes leurs diversités.

Le projet a été organisé grâce au soutien du CFA Paris-Académie Entreprise et encadré par Maya Blanc, enseignante, et Romain Lejeune, journaliste. Un grand merci !